Zittungsàrtikel "La troupe des aînés, elle s'est lancée dans cette hilarante comédie de Bernard Eibel Un alles waije dere Funtzel. Véronique vit encore dans l'appartement de son ex-époux Maurice. Bien que divorcés, ils vivent encore ensemble dans le logement avec leur bébé, Jérômele. Maurice s'occupe on ne peut mieux de son ex-épouse : elle garde le bébé, il paye le loyer ainsi que la bonne Odile et va même embaucher Martine comme baby sitter, une ancienne amie d'école. Il va même, le soir en rentrant de son travail, donner le biberon à Jérômele. Odile, la bonne qui a les pieds sur terre et un franc-parler, n'approuve pas tout ce qui se passe dans cette demeure.
Tout va se compliquer quand arrivent pour quelques jours les parents de Véronique, la hautaine et autoritaire Adèle et son accommodant époux Théophile ainsi que ceux de Maurice, une sympathique Germaine et son époux Anatole qui ne peut dormir sans son horloge et ses merveilleux mais tonitruants carillons. Une cohabitation qui s'avère compliquée car les deux mamies ne se supportent pas au contraire des deux papis s'entendent comme larrons en foire.
Autre hic, Maurice n'a pas encore dit à ses parents que Véronique et lui sont divorcés. Une situation à risques où interviennent Édouard un horloger, Patrick un candidat au mariage sur fond de conjuration des deux papis pour rétablir l'ordre. L'histoire est fort plaisante avec des acteurs qui campent à souhait leur rôle, aidés par leur humour naturel, dans une séduisante interprétation de cette comédie où foisonnent comique des mots et comique de situations, saupoudrée de quiproquos, de confusions (surtout autour du mot Funzel), d'allusions et d'autres à peine voilées.
Est-ce que le petit Jérôme va grandir dans une famille recomposée et unie? "
DNA - (17/02/2016)
"Chaos im Hause Entenmann:
Welche Schwiegermutter ist die beste Oma oder wie bringt man eine alte Schachtel zum gehen?
Knapp 100 Besucher amüsierten sich über die Darsteller und das Stück "Alles wegen dieser alten Schachtel". Die Stimmung im Saal war ausgelassen und die Schauspieler blühten unter dem Gelächter der Zuschauer regelrecht auf, mit langanhaltendem Applaus dankte das Publikum den engagierten Darstellern. "
- (16/03/2014)
"FILDERSTADT (red). Am Samstag, 15. März, feiert die Filderbühne im Bürgerhaus Sonne in Sielmingen Premiere mit ihrem neuen Stück âAlles wegen dieser alten Schachtelâ, ein Schwank in drei Akten von Bernard Eibel. Alle Infos unter www.filderbuehne.de."
Nürtinger Zeitung - (04/03/2014)
"Die Filderbühne spielt: »Alles wegen dieser alten Schachtel«, einen Schwank in drei Akten von Bernard Eibel. Im Mittelpunkt des amüsanten Schwanks steht die böse Schwiegermutter Adelheid, die aus ihrer Abneigung gegen den Ehegatten Moritz ihrer Tochter Veronika keinen Hehl macht. Turbulent wird die Geschichte, als sich sowohl die Eltern von Veronika als auch von Moritz zu einem längeren Besuch anmelden. Das Zusammentreffen bringt dicke Luft mit sich, denn die beiden Schwiegermütter können sich nicht leiden ...
Ist die Ehe der beiden überhaupt noch zu retten oder wird am Ende die streitlustige Schwiegermutter Adelheid triumphieren?
Premiere des neuen Stücks ist am Samstag 15. März. Weitere Aufführungen sind vorgesehen am 21.03. ∕ 22.03. ∕ 29.03. ∕ 12.04. ∕ 13.04. ∕ 25.04. ∕ 26.04. Beginn ist freitags und samstags jeweils um 20 Uhr, sonntags um 18 Uhr.
"
Stadtanzeiger ∕ Filder Extra - Nachrichtenportal für Stuttgart - (28/02/2014)
"...Cette pièce, en trois actes, sera l'occasion de retrouver les quiproquos et le verbe enjoué auxquels la troupe Sainte-Cécile de Battenheim a habitué les spectateurs."
L'Alsace - (29/01/2014)
"À la levée du rideau, la pièce « Un alles waije dere Funzel » de Bernard Eibel, embarque rapidement les spectateurs dans un tourbillon de rebondissements et d'actions : un jeune couple mis à mal par l'intrusion insistante de la belle-mère, un bébé pour lequel tout le monde est aux petits soins, des prises de becs entre belles familles, les uns paysans, les autres citadins, et des quiproquos autour d'une horloge!"
DNA - (13/03/2013)
"Le titre est un prétexte à une cure de rire bien bénéfique dans la grisaille hivernale. Avec en scène un ménage qui nâen est plus un, des entrées multiples de personnages, beaucoup de portes, un couloir, la pièce est parfois compliquée. Ainsi le public, très appliqué à ne rien perdre du fil de lâhistoire, évite de couper lâélan des acteurs par des applaudissements spontanés. Mais les rires fusent car lâhumour de lâauteur est bien servi par les acteurs et le texte, sans excès dâeffets.
Le quiproquo burlesque sâinstalle progressivement ponctué de réparties cocasses qui usent du double langage du dialecte, comme cette « Funzel » indéfinissable. Jalousie, rivalité entre belles-mères aveuglées par leur amour débordant, complicité entre hommes et manÅuvres souterraines, finiront par défaire les mailles de lâintrigue et la chute réconciliera les couples. Comme convenu, lorsque le rideau se referme, le public repart le cÅur plus léger."
L'Alsace - (08/02/2013)
"La pièce tourne autour du divorce des deux personnages centraux et elle regorge de rebondissements et de quiproquos, ce qui explique son succès lors des représentations antérieures."
DNA - (03/02/2013)
"Comme à son habitude la troupe ne parle guère du scénario. « C'est une histoire de famille à laquelle viennent se mêler, le temps d'un week-end, les parents respectifs de l'ancien couple ; les deux belles-mères ne s'apprécient guère » consent à préciser André qui endossera le rôle de l'horloger, car, et seuls ceux qui verront la pièce en sauront la raison, une horloge se trouve être le fil rouge de l'intrigue.
Quiproquos inévitables, situations inextricables, les fous rires sont garantis. « Même nous, on a parfois du mal à savoir où en est la pièce et on a beaucoup de mal à rester sérieux lors des répétitions » reconnaît André."
DNA - (25/01/2013)
""Un alles waije dere Funzel" pièce où le quiproquo est à nouveau de mise : la jalousie dans le couple, les relations délicates avec les beaux-parents, le grain de sel de la bonne, les petites annonces, les facéties des grands-pères, la rivalité des grands-mèresâ¦"
Bulletin municipal Bossendorf - (04/01/2013)
"...Dans cette nouvelle comédie en 3 actes, où toute ressemblance avec des personnes connues est fortuite, lâhumour et la dérision sont omniprésents avec des situations et des quiproquos cocasses, mis en relief par la truculence des dialogues. Une cure de rire vivement recommandée pour fuir la morosité du quotidien, sans aucune contre indication..."
DNA - (23/01/2012)
"Pour les nombreux amateurs de théâtre alsacien, intrigués par le titre dialectal de la pièce, dont l'expression « Funzel », il faut préciser que l'auteur a utilisé une métaphore pour désigner à la fois une horloge (tocante) qui intervient dans le scénario et pour désigner ironiquement la belle-mère (toquée)."
DNA - (12/01/2012)
"La jalousie dans le couple, les relations délicates avec les beaux-parents, le grain de sel de la bonne, les petites annonces, les facéties des grands-pères, la rivalité des grands-mères, tout ça autour des cris du petit Jéroôme; voilà à peu près un résumé de ce qui vous attend dans cette pièce en trois actes tout à fait caractéristique du quiproquo burlesque. Un mélange d'époques et de situations qui font le charme du théâtre alsacien..."
"Bravo! Das zehnköpfige Ensemble um Regisseur Michael Stumpf von der Hermann-Moser-Bühne brillierte am Wochenende im Haus den Bürgers in Bad Dürrheim gleich an zwei Abenden. Rund 500 Besucher insgesamt amüsierten sich durch die Stuhlreihen weg über die Darsteller und das Stück "Alles wegen dieser alten Schachtel". Und angekündigt als "nicht ganz ernstzunehmender Schwank" von Bernard Eibel erfüllt das Stück auch alles, was einen Schwank ausmacht. Stammt diese Gattung doch aus dem Mittelhochdeutschen "swanc" und bedeutet zunächst "lustiger Einfall". Im Mittelpunkt steht eine Begebenheit aus dem Volksleben und das Besondere: Die Komik entsteht nicht vor einem intellektuellen Hintergrund, sondern aus der Situation heraus.
Parade-Rollen wie auf den Leib geschneidert also für die "alten Bühnenhasen", wie Ulrika Bames, Lothar Setnik, Edith Koziol und natürlich Hans-Jürgen Volk, die die jeweiligen Schwiegereltern des frisch geschiedenen Paares Moritz und Veronika Entenmann alias Christian Noel Marin und Cathrin Beese gaben. Ja, das ist Laientheater auf hohem Niveau!
"Wir sind ja schließlich irgendwer!", herrscht Edith Koziol alias Adelheid Kalkarm ihren bemitleidenswerten Gatten Theodor (Hans-Jürgen Volk) an. Und der kontert trocken: "Ja zwei alte Esel". Dabei ist Adelheid doch wie ein Christstollen, "zwar nicht so schön verziert, aber so hart", findet der ungeliebte Ex-Schwiegersohn Moritz Entenmann.
Die Geschichte des Schwankes ist indes kurz erzählt: Im Mittelpunkt steht die "böse Schwiegermutter" Adelheid, die aus ihrer Abneigung gegen den Ehegatten ihrer Tochter keinen Hehl macht. Kein Wunder, dass die Ehe von Veronika und Moritz gerade einmal sieben Monate dauert. Turbulent wird es, als sich sowohl die Eltern von Veronika als auch von Moritz zu einem längeren Besuch anmelden, denn die Eltern von Moritz wissen noch gar nicht um die Trennung des Paares. "Schmeiß' die beiden Gestalten raus", wettern und zürnen die Schwiegermamas sich an und bleiben schließlich beide. Nachts dann kann Mutter Entenmann nicht schlafen und Anton Entenmanns geliebte Uhr, auch so eine alte Schachtel, bleibt stehen. "Es ist halb", brummt der müde Anton und sie will wissen "Was für ein halb?" - so geht es schließlich, bis des nächsten Tags der Uhrmacher Eduard auf den Plan tritt und schwups mit Veronikas Verehrer verwechselt wird. "Dann sattel' ich mir einen Truthahn und galoppiere nach Texax", spricht die Verzweiflung aus Eduard (Uli Thiel). Und es sind eben diese kleinen Rollen, die das Stück erst komplettieren. Ob Emma (Heike Heuberger) als vorwitzige, Zigarre rauchende Hausdame oder aber - und jetzt kommt's - Michael Stumpf als tollpatschiger Peter Da-bin-isch!, der für wahre Lachsalven im Saal sorgt. Zum ersten Mal stand übrigens Britta Stallmann alias Martina Waldinger auf der Bühne - prima Leistung.
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Südkurier - (19/11/2007)