Die bringe mir nemmi nüss! (E 17a) Akte:
Dreiakter (125 min)
Kategorie:
Lustspiel
Buhnebild:
Büürestubb
anderi Fàssung:
Resume
Wie oft saat m'r als: "Aj, kummsch emool durich!" oder "Haltsch emool by uns!", meischtens ohne Werrickung un ohne Erfolg. Des Düür het de Honoré Du Weschlaag, e Bankdirekter, siner Frind Joseph Schlepper, Garagist in de Stadt wie awer uff'm Land by sine Eltere wohnt, by'm Wort genumme un kummt tatsachlich mit sinere Frau füer e paar Daa. Luftveranderung kann nit schaade!... Do wär nix debie awer üss dene paar Daj waare zwei Wuche!... Wenn m'r noch erfahrt das de Honoré au sini Eltere mitgebroocht het un das die bessere Litt sich scham- un rüecksichtsloos uff Schlepper's Hoft durich- un
feschtfresse, versteht m'r besser warum das by's Schlepper's de Deifel loos isch denn die Gascht wie m'r schun lang nüssschmisse hät sotte bringe uff einmool Uneinigkeit un Krach uff de Hoft... Soll der klein Müülwerfer, wie de Tony endlich g'fange het, de Grund sin füer Rüehj un Fridde?
Persone Herre:
6
Dame:
4
Persone:
0
Büewe:
0
Maide:
0
Kinder:
0
Stimme:
0
clip Bilder
Zittungsàrtikel "Qui n’a jamais interpellé un ami en lui lançant : « Kummsch emool durich ! » sans grande conséquence ou réussite ? Sauf que dans la pièce de Bernard Eibel, un noble directeur de banque prend son ami garagiste au mot et débarque à l’improviste, avec épouse et parents, dans la ferme de son mécanicien pour deux jours qui se transformeront vite en deux semaines.
Changement d’air pour les uns, bouleversement indésirable pour les autres, cette cohabitation forcée amène logiquement scènes de ménages, mésententes et autres quiproquos usuels. Une petite taupe, des ondes négatives, un air campagnard réussiront-ils à aider la famille accueillante à faire déguerpir les visiteurs indésirables, ou à convaincre ces derniers qu’il est temps de refaire les valises ?"
DNA - (15/02/2018)
"Combien de fois n'a-t-on pas dit ou entendu : « Viens passer quelques jours chez moi ! » Mais très souvent, les personnes ne donnent pas suite à l'invitation. Mais voilà que cette fois-ci, cela se concrétise lorsque le fils du fermier, garagiste dans la commune, invite son ami, directeur d'une banque en ville, à passer quelques jours de vacances à la campagne, au bon air. Celui-ci viendra accompagné de sa femme et de ses parents.
Cette intrusion dans le quotidien des fermiers a provoqué des éclats de rire et des tonnerres d'applaudissements du public, venu nombreux pour ce premier week-end de fou rire."
DNA - (28/10/2015)
"La visite de courtoisie a alors duré plus longtemps que prévu. Cette intrusion dans le quotidien des fermiers a provoqué maintes tensions et situations cocasses, au point que le conseil de famille a dû faire preuve dâimagination et user de subterfuges, pas toujours habiles, pour les déloger au bout de quinze jours."
DNA - (25/03/2012)
"...Cette comédie met habillement en avant les effets de langage du dialecte : jeux de mots et situations cocasses offrent aux spectateurs un bon moment de rire..."
DNA - (02/02/2012)
"A combien de reprises dit-on à des amis «viens passer quelques jours chez moi!» mais très souvent, les personnes ne donnent pas suite à l'invitation. Mais voilà que cette fois-ci, cela ce concrétise lorsque le fils du fermier, garagiste dans la commune, invite son ami, directeur d'une banque en ville, à passer quelques jours de vacances à la campagne, au bon air.
...Le public qui ira de surprise en surprise, ne sera pas déçu..."
"... L'outrecuidance des uns face à la spontanéité du biotype des autres forme une confrontation en scènes du quotidien... Des quiproquos de situations, des retrouvailles insolites, des intérêts et attitudes d'allégeance pour un prêt... Mais comment se débarrasser de ces hôtes quelque peu intrus et pourtant à ménager?..."