Ziehe sie an! (E 30a)

Akte:
Dreiakter (110 min)
Kategorie:
Luschtspiel
Bühnenbild:
Ein Vorraum
andere mögliche Darstellung:
E 30   
Inhalt
Ein Sportschuh wird im Vorraum hinterlassen und schon ist die chronische Eifersucht von Raymond angereizt...
Wer hat einen Liebhaber: seine Frau?... seine Schwester?... Seine Schwiegermutter?... Seine Tochter?...
Und wer ist dieser Liebhaber? Der Vertreter von Landwirtschaftsmaschienen oder der Bäcker?
Wer kann endlich Raymond's kranhafte Eifersucht heilen?
Personen
Herren:
5
Damen:
5
Besetzung:
0
Junge:
0
Madchen:
0
Kinder:
0
Stimmen:
0
clip
       
Bilder
 Beschebaribuehn de Bischoffsheim   Photo L'ALSACE Théâtre Cetcle Saint Didier de Willer sur Thur   Photo L'ALSACE Théâtre Cetcle Saint Didier de Willer sur Thur   Photo DNA Théâtre Cetcle Saint Didier de Willer sur Thur   Photo DNA Théâtre Ansacien de Cernay   Photo DNA Théâtre Saint Georges Haguenau   Photo DNA Groupe Théâtral Chorale Ste Cécile Duttlenheim   Photo DNA Groupe Théâtral Chorale Sainte-Cécile de Duttlenheim   Photo DNA  théâtre alsacien du Foyer Club de Balgau   
Pressestimmen
"Pièce intitulée "Schlupf emol nin !" de Bernard Eibel. Une chaussure de sport oubliée dans le hall d'entrée et la jalousie maladive d'un homme est aiguisée..."
www.mapado.com - (10/02/2016)

"Il riait aux éclats , les larmes aux yeux, devant les scènes truculentes et les remarques pleines de quiproquos, ce public.
Les rires et les applaudissements ont retenti dès les premières répliques. Ce qui fera dire aux comédiens : « Nous avons eu un super public qui, dès le départ, a bien rigolé et ensuite, tout au long de la pièce, c'était très agréable pour une dernière. » "
DNA - (09/02/2015)

" Cette comédie a été jouée dans la salle des fêtes de Balgau, samedi 24 et dimanche 25 janvier, devant un public heureux et admiratif par la qualité de la présentation. C'est une belle pièce présentée par des acteurs de grande valeur, qui ont admirablement bien interprété les personnages.
Cette comédie se déroule dans la salle à manger de Raymond Grund, agriculteur de son état . Il a mis son fils Julien à la porte. Mais celui-ci revient de temps en temps incognito chez sa soeur pour récupérer du linge propre. Malheureusement, il a oublié par mégarde ses baskets. Cette chaussure va éveiller la jalousie maladive de son père . Qui a un amant ? Sa femme Antoinette ? Sa soeur Colette ? Sa fille Nadine ou sa belle-mère Nelly ? Et qui est cet amant ? Didi, le représentant en machines agricoles ou Lucien le boulanger? La plus grosse des questions est: comment Antoinette va-t- elle lui faire passer sa jalousie ?
Les nombreuses péripéties et les truculents dialogues qui en ont découlé, ont entraîné les spectateurs, qui ont vécu intensément cette pièce, dans des tourbillons de rires. De quoi passer des moments très agréables. "
DNA - (28/01/2015)

"Les amateurs de théâtre dialectal qui se sont déplacés au foyer de Balschwiller ont dégusté sans retenue la première de Schlupf emol dri , de Bernard Eibel, une comédie en trois actes proposée par la section théâtrale de Balschwiller. Durant toute la pièce, le public a ri de bon coeur. Il faut dire que les acteurs sont brillants, les décors superbes et les costumes choisis avec soin. "
L'Alsace - (20/02/2014)

"Une chaussure perdue met tous les protagonistes de cette histoire invraisemblable à rude épreuve et provoque toute une série de mini-drames dans la maisonnée du jaloux Raymond. « C'est un peu l'histoire de Cendrillon à rebrousse-semelle, parce qu'ici on ne recherche pas la belle, mais son prince charmant ! La pièce est alerte et les dialogues savoureux » , commente le président Éric Christen."
L'Alsace - (13/02/2014)

"Les amateurs ont pu se délecter avec les facéties de la famille Grund, dont les différents membres ont fait bien rire la salle avec leurs aventures. A commencer par le père, Raymond, un personnage ombrageux et maladivement jaloux, qui va entraîner toute la famille dans son délire à cause d'une malheureuse chaussure de sport abandonnée... dans la salle à manger. Un truculent représentant en machines agricoles, Didi, toujours à l'affût d'une bonne affaire, va en profiter pour vendre à Raymond toutes sortes de machines ou de pièges pour le satisfaire. Une brochette de femmes, toutes plus désopilantes les unes que les autres, complète le tableau, avec notamment Nelly dont les réparties pleines de bon sens font mouche sans coup férir.
Cette comédie loufoque n'a pas offert le moindre temps mort tout au long des trois actes."
DNA - (10/02/2014)

"... Les acteurs ont embarqué le public dans une rocambolesque succession de situations hilarantes générées par une… chaussure de sport !...
De situations cocasses en répliques assassines en passant par des jeux de scènes comiques, le spectacle à rebondissements burlesques a tenu le public en haleine... Le suspense reste entier jusqu'à la fin de la pièce..."
DNA - (05/02/2014)

"Raymond, fermier très jaloux, en rentrant d'une séance de conseil municipal, trouve une chaussure de sport chez lui. À qui est-elle ? Lucien le boulanger ou Didi le représentant en machines agricoles ?
Et qui est courtisée par ce prétendant ? Son épouse Antoinette, sa soeur Colette, sa belle-mère Nelly ou sa fille Nadine ?"
DNA - (30/01/2014)

"Une histoire rocambolesque axée autour d'une chaussure perdue qui met tous les protagonistes de cette histoire invraisemblable à rude épreuve et provoque une série de mini-drames dans la maisonnée. C'est un peu l'histoire de Cendrillon à rebrousser semelle, parce qu'ici on ne recherche pas la belle, mais son prince charmant; ça promet !
"
DNA - (22/01/2014)

"L'histoire est plaisante, l'action bien menée, les rebondissements sont hilarants, les échanges sont truculents, les réparties bien tournées et le dénouement sera connu en venant assister à l'une des prochaines représentations."
DNA - (21/02/2013)

"Ces pérégrinations autour de cette chaussure de basket oubliée par un mystérieux visiteur nocturne ont tenu en haleine les spectateurs des trois premières séances. Jalousie, recherche de la «vérité» et vie quotidienne sont les prétextes à nombre de situations cocasses et de répliques savoureuses... jusqu'au dénouement de cette comédie de moeurs prétexte à quiproquos et dialogues anecdotiques. "
DNA - (15/03/2012)

"Durant les trois actes de cette comédie hilarante écrite par Bernard Eibel, les spectateurs ont été tenus en haleine et ils ont constamment applaudi les innombrables cocasseries sur scène.
À la sortie de la pièce, on entendait qu'une seule phrase : « On a bien ri ce soir »."
L'Alsace - (06/03/2012)

"Schlupf a mol inne ! , ( Enfile-moi cette chaussure), une comédie dialectale, écrite par Bernard Eibel, se nourrit de la jalousie maladive d'un fermier, persuadé d'être trompé par son épouse.
À tort, ou à raison, la chaussure de basket trouvée à la maison, laisse planer quelques doutes sur l'intrigue de la pièce. À qui peut-elle appartenir ? Y a-t-il amant sous roche ? Famille et amis, en toute fraternité, jettent de l'huile sur le feu de la discorde et les situations cocasses s'enchaînent."
L'Alsace - (28/02/2012)

"Fil conducteur de cette comédie, la jalousie causée par un mystérieux visiteur qui a laissé des traces de son passage sous la forme d'une chaussure de sport.À partir de là, le propriétaire de lieux, jaloux comme un tigre, échafaude un plan pour mettre un terme aux agissements de celui qu'il soupçonne de rendre visite à sa femme.Le scénario qui en découle est prétexte à nombre de situations cocasses, de répliques bien dans la tradition du théâtre alsacien."
DNA - (22/02/2012)

"...Cette banale chaussure isolée éveille sa curiosité et de questions idiotes en réponses sottes, Raymond se persuade que sa femme Antoinette a un amant. Dès lors sa jalousie aussi sournoise qu'injustifiée va miner la quiétude de cette famille et son entourage car Raymond n'a qu'une idée en tête : trouver ce Schlappe Casanova... "
DNA - (04/02/2010)

"Cette chaussure perdue met tous les protagonistes de cette histoire invraisemblable à rude épreuve et provoque toute une série de mini-drames dans la maisonnée. C'est un peu l'histoire de Cendrillon à rebrousse semelle, parce qu'ici on ne recherche pas la belle, mais son prince charmant ! La pièce est alerte, les dialogues savoureux avec une ribambelle de bons mots au passage qui sont la signature de Bernard Eibel. Au jeu des sentences truculentes énoncées sans coup férir, du genre « Vu a eckig Hirn, kann m'r net verlanga as es rund lauft » (« A une cervelle en coin, on ne peut pas demander de tourner rond »), "
DNA - (06/11/2008)

"...le thème c'est la jalousie, avec toute l'exploitation que peut en faire le théâtre en dialecte, avec des situations cocasses qui se succèdent à un rythme effréné... Dans cette pièce en trois actes, le public aura ample matière à se dilater la rate au vu des situations désopilantes qui y foisonnent..."
DNA - (29/10/2008)