Elsasser Theaterstickle

"Les treize acteurs ont ainsi évolué dans un somptueux décor, comprenant les façades de l’hôtel « L’étoile blanche », l’entrée du local de massages et plus du « 7e ciel », la mairie du village et l’arrière-plan d’une colline avec à son sommet le fameux château « Aschestein », pierre angulaire de toute l’intrigue.

Le premier acte a permis de faire connaissance avec l’ensemble des personnages: le maire Michel Tronsitzer qui veut transformer le château en boîte de nuit, Charel le peintre qui repeint le bureau de la mairie et qui est aux premières loges pour suivre et entendre toutes les péripéties, Walter, le secrétaire de mairie chargée de suivre discrètement le docteur, Mme Laure la propriétaire du 7e ciel et son employée l’entraîneuse Astrid qui est amoureuse du secrétaire général de la mairie, Fritz Dauctaire. Du suspense jusqu’au final inattendu
Il y a aussi Marcel le garçon de café quelque peu bégayeur, le Dr Pierre Willmann et son amie Lise Gormann, l’étudiante Louise qui séduira le docteur, Lisel, la secrétaire de mairie qui pensera que le docteur est amoureux d’elle, et enfin le curé souvent rappelé à l’ordre par Dieu, son patron, quand ce n’est pas sa gouvernante, Anna. Le spectacle ne manquait ni de péripéties ni de rebondissements sur trois actes très rythmés jusqu’à un final inattendu.
Le suspense dure jusqu’à la fin, et ce pour le plus grand plaisir des spectateurs qui n’ont pas été avares d’applaudissements, récompensant des acteurs impliqués dont certains jouaient pour la première fois."

"Le public a ri aux éclats et les salves d’applaudissement ont retenti à la fin de la pièce en 3 actes de Bernard Eibel. Des moments cocasses et drôles, de l’humour, des « tics », des jeux de mots, du suspens, et des revirements de situation se sont succédé pour le bonheur des spectateurs, dans cette souriante comédie, rondement menée."

"À son décès, le propriétaire du château d’Aschenstein lègue celui-ci à son neveu, à condition qu’il soit officiellement marié avant le 30 septembre, faute de quoi le bâtiment reviendra à la commune. Dans le village, se trouve aussi un établissement de nuit, le « Sewwede Himmel » (7e ciel), que le maire aimerait bien transférer au château. Mais c’est sans compter sur la détermination du curé qui va éviter par tous les moyens cette opération.

Le docteur Pierre Willmann, l’héritier, arrive avec sa compagne Lise, mais ne tarde pas à tomber amoureux d’une adorable mais très raffinée touriste, Louise, qui va faire vaciller le mariage."

"À son décès, le propriétaire du château d’Aschenstein lègue celui-ci à son neveu, à condition qu’il soit officiellement marié avant le 30 septembre, faute de quoi le bâtiment reviendra à la commune. Dans le village se trouve aussi un établissement de nuit de mauvaise réputation, le Sewwede Himmel, que le maire aimerait bien transférer au château.
Mais c’est sans compter sur la détermination du curé qui va éviter par tous les moyens cette opération. Le docteur Pierre Willmann, l’héritier, arrive avec sa compagne Lise, mais ne tarde pas à tomber amoureux d’une adorable mais très raffinée touriste, Louise, qui va faire vaciller le mariage.
De son côté, Lisel la préposée de la mairie au service d’état civil, follement amoureuse de son chef Monsieur Doctaire, va être l’origine d’un gros malentendu… Sur la place du village, la vie est vraiment mouvementée. Bien souvent, la porte du lieu de perdition tenu par Mme Laure s’ouvre pour laisser enter ou sortir M. Doctaire ou le secrétaire de maire, Walter, qui vont aller voir Astrid, qui « anime » l’établissement.
À la terrasse de l’hôtel officie le garçon, Marcel, qui ne manque pas d’originalité. Anna, la gouvernante du curé, vient mettre régulièrement son grain de sel, tandis que Charel, le peintre qui rénove la mairie fait ses apparitions (im) pertinentes à la fenêtre du bâtiment. Mais qui donc de Lise, Louise, ou Lisel va épouser le docteur, pour que le château soit en de bonnes mains ? Le suspense bien entretenu laisse la question ouverte jusqu’à l’ultime scène.
Les treize personnages ne laissent pas un moment de répit au spectateur dans cette histoire à rebondissements permanents..."

"Cette fois, c’est encore une comédie en trois actes de Bernard Eibel qui sera en vedette, Gibt’s a Spital oder a Nachtlokal ? (y aura-t-il un hôpital ou une boîte de nuit ?). Pour entrer en possession d’un héritage, l’ayant droit doit être marié avant une date précise très proche. Mais épousera-t-il Lise, Lisel ou Louise ? Qui aura raison, le curé avec une clinique, ou le maire avec un lieu de perdition ?"